Parfois les #symptômes d'une #IST sont évidents, parfois on peut passer complètement à côté ! Alors qu'une IST peut se conjuguer au singulier, les problème qui en découlent se conjuguent souvent au pluriel... Comment savoir si je suis #porteur d'une IST ? Jusqu'à quand suis-je contaminé ? Toutes mes réponses dans mon article santé.
IST #symptômatique V/S #asymptômatique. Nombreuses sont les IST qui peuvent se transmettre via le #toucher, les #baisers voire même de relations sexuelles protégées. Le catalogue des #symptômes les plus courants sont l’apparition de fièvre, d’éruptions cutanées, de rougeurs ou d’écoulements anormaux avec brûlures au niveau des organes génitaux. Or, souvent les IST demeurent #asymptomatiques sans présenter de signes visibles de son infection. Ainsi, une IST peut passer complètement #inaperçue et pendant longtemps.
Le hasard ne devrait pas alimenter une chaîne de contaminations.
Une IST ne devrait pas restée sous #silence.
Qu’importe la voie de transmission d’une IST, en contracter une est souvent un sujet vécu comme un moment d’#angoisse ou de honte. Pourtant, vos partenaires de jeux ont le droit de savoir... autant on peut attraper une IST par hasard, autant on ne doit pas laisser le hasard alimenter une chaine de contaminations. Le fait d'#avertir ses #partenaires actuels ou passés va leur permettre d'une part de se faire traiter et d'autre part de ne pas participer à la propagation de l’IST en question.
A qui en parler ?
Non sous le coup du stress, mais en vous posant pour réfléchir, vous y verrez plus clair pour savoir quels partenaires contacter. Même si vous n'avez pas eu de rapport durant cette période, prévenez néanmoins votre dernier partenaire en date (celui que vous avez eu juste avant l’infection), afin qu'il puisse se faire dépister, et si besoin, traiter à son tour.
Quand parler de son #IST ?
Il n’y a pas de ‘meilleure façon’ ou de ‘meilleur moment’ pour en parler, car ‘le bon moment’ n’existe pas. Le meilleur moyen d'annoncer une #IST à un partenaire est encore de le faire rapidement et avec des mots simples. En allant droit au but et en évitant des périphrases alambiquées, vous évitez ainsi tout risque de #malentendu. Ainsi, le mieux est encore de prendre votre courage à deux mains et de l’annoncer en direct ou par téléphone si la personne est loin ou que vous ne souhaitez pas le revoir.
Comment l’annoncer ?
Quel que soit le mode de communication (en réel ou en virtuel), n’adoptez à aucun moment un ton accusateur, car il est presque impossible de savoir qui a #contaminé l’autre en premier. De plus, cela ne fera que jeter de l’huile sur le feu et pourrait inciter votre partenaire à couper court à la discussion et donc à ne pas prendre les mesures nécessaires. Bref : il faut savoir rester calme et courtois à chaque instant !
Don’t be drama, just be a queen.
Pour entamer le dialoguer, ne tentez ni d’enjoliver ni de la #dramatiser, cela risquerait de ne plus rendre l’annonce efficace. Au contraire, soyez un peu borderline, comme une sorte d’entre-deux. Selon la situation et le degré de dangerosité, vous pouvez conseiller à la personne d'en parler tout simplement avec son médecin ou bien alors de se rendre dans un #CeGIDD
Rapidement... Mais en prenant son temps.
Certes, plus tôt on averti son partenaire et mieux c’est, mais quoi qu’il en soit, dans l’annonce que vous allez formuler n’oubliez pas de prendre le temps d’expliquer l’importance qu’il se protège et protège son entourage avec des préservatifs en attendant les résultats de ses examens, et ce même s’il ne présente aucun symptôme.
Par Dr Thomas K. – Tous droits réservés – Entreprise Thomas K. Edition ©
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