Tic-tac-tic-tac… L’horloge tourne et le temps nous est compté pour obtenir ce teint hâlé à souhait. Sauf que l’on ne badine plus avec les #UV : nul n’est sensé ignorer aujourd’hui que leur abus est mauvais, tant pour la peau que pour notre santé en général. Alors c’est décidé, on dompte les UV pour #lézarder en sécurité ! Quoi à la clef ? Une jolie peau en bonne #santé rehaussée d'un #bronzage qui dure, qui dure, qui dure…
Oui aux coups d’un soir, non aux coups de soleil!
En matière de #bronzage, les préliminaires s’imposent afin d’y aller étape par étape dans le but d’exposer en douceur notre épiderme. Pourquoi ? La peau demeure notre plus gros organe et il est lent à la détente : la #mélanine met plusieurs jours à être sécrétée. Durant ce laps ce temps la #peau est littéralement à nue. S’exposer progressivement, et avec une protection solaire adaptée, permettra de dire #ByeFelicia aux coups de soleil !
Sortez couverts !
Les peaux claires réclament une #protection plus élevée contre les #UV qu'une peau mate. Mais une peau mate a aussi besoin d'être chouchoutée et d’être protégée du soleil. De fait, il est déconseillé d'utiliser une protection solaire dont le #SPF est inférieur à 30 et ce quel que soit son type de peau. C’est la condition sine qua non pour #bronzer en toute quiétude.
L’indice de protection, c’est quoi exactement ?
Qu’il se nomme #IP pour Indice de Protection, #SPF pour #Sun Protection Factor ou encore #FPS pour Facteur de Protection #Solaire, cet indice est un facteur multiplicateur temporel contre les UV. Même à indice élevé et avec une mention « water-ressistant », il est indispensable d'appliquer sa protection solaire toutes les deux heures et après chaque baignade.
Si l'on fait un coup de soleil en 10 minutes sans protection, avec un SPF-50 on le fera en 50 x 10 min soit 500 minutes.
Une SPF-50 empêche-t-elle de bronzer ?
Non, une #crème solaire d’indice 50 ne vous empêchera pas de vous dorer la pilule car une haute protection solaire n'est pas synonyme de teint pâlo. Les UV-B, responsables à la fois du bronzage et des coups de soleil, pénètrent malgré tout suffisamment la peau pour titiller la mélanine.
Crème, gel ou huile : quelle texture choisir ?
L’essentiel est d’adapter la texture à la zone à protéger ainsi qu’à son type de peau. Une crème est préférable pour le visage et les zones glabres, tandis qu’un lait ou une #texture gel sera plus adaptée pour les zones velues car moins collante dans les poils. Dernier conseil : pour les peaux grasses, choisissez un fluide à « toucher sec », votre sébum vous remerciera.
Filtre chimique, minéral ou ‘bio’ ?
Deux types de filtres UV sont disponibles : minéral et chimique. Les filtres minéraux agissent en réfléchissant les UV, comme un miroir, alors que les filtres chimiques absorbent les UV. Avantages et inconvénients ? Les #filtres minéraux sont hypo-allergéniques mais laissent des traces blanches, tandis que les filtres chimiques sont invisibles mais sont allergisants et polluants envers l’environnement. Attention aux crèmes solaires dites « bio » qui malheureusement, à ce jour, sont globalement inefficaces en terme de protection solaire. Préferez une gamme naturelle, dénuée de substances controversées, comme la gamme #SunSave de #Pharmavance par exemple.
Bien que l’indice 50+ soit une protection solaire très élevée, il n’est plus synonyme « d’écran total », ce terme marketing étant bannit en Europe depuis 2006.
#Acné ou #cicatrices : quelles précautions prendre ?
Une peau boutonneuse placée au soleil, c’est un risque accru de voir apparaitre tâches et #cicatrices. Pour limiter la casse, un SPF 50 s’impose pour ces zones plus sensibles. De même pour les cicatrices récentes, l’idéal est d’utiliser un stick solaire que l’on applique allègrement, avec une formule 100% #minérale agrémentée d’oxyde de zinc pour ses vertus cicatrisantes.
Les gélules ‘solaires’ sont-elle utiles ?
Les #compléments solaires aux allégations variées allant de ‘préparateurs’ à ‘prolongateurs’ de bronzage ne protègent en rien votre peau des coups de soleil. D’un point de vue physiologique, rien ne peut préparer une peau au soleil. Composés essentiellement de #bétacarotène et #lycopène, ils ne permettent que d’améliorer ou faire prolonger le #hâle mais ne remplacent aucunement une crème solaire. Aussi, les compléments à base de béta-carotène sont fortement déconseillés chez les fumeurs car ils augmentent les méfaits de la fumée de tabac.
Par Dr Thomas K. – Tous droits réservés – Entreprise Thomas K. Edition ©